Le
Café-Comptoir Colette est un bar de quartier, qui existe depuis
plus
d’un siècle sur le quai Paul Bert à Tours. Il accueille
quotidiennement
une
diversité de personnes issues du quartier ou de la ville, mais aussi
une
multiplicité
d'activités à la fois sociales et culturelles.
Depuis
deux ans, un collectif s'est constitué avec la volonté
de
transformer le bar en projet collectif afin de mettre en
correspondance la
forme de gestion du lieu et l'activité
foisonnante qui s'y déploie.
Aujourd'hui le Café-Comptoir
Colette ressemble plus à un lieu de vie qu'à un
bar
conventionnel. C'est un lieu de vie où se croisent et se rencontrent
des
habitants de quartier, des projets associatifs divers, des
amateurs de libre
expression et des individus qui souhaitent
proposer des initiatives.
La reprise du Café-Comptoir Colette
par le collectif des Colettes
répond au désir d'accroître la
dynamique collective qu'il a rendu possible en
créant les
conditions d'une meilleure articulation et développement
des
différents réseaux qui le traversent.
Or le bar
rencontre aujourd'hui une situation financière critique
qui
précipite la nécessité d'une telle reprise et son rachat
par le collectif. Cet
appel vise à réunir les forces qui, en
apportant un soutien au projet, en
permettront la réalisation.
Le
projet
1- Le contexte
L'ambiance générale de la ville
de Tours est aujourd'hui à l'image de
la dépression sociale qui
traverse le pays. Celle-ci se manifeste par la
multiplication des
fermetures de lieux, bars ou espaces collectifs, par
un
appauvrissement des lieux de vie nocturne, cloisonnés dans un
Vieux Tours lui-
même soumis à une régulation et à un contrôle
qui finissent par étouffer les
quelques foyers de vie qui y
résistaient, ainsi qu'à un affaiblissement de la
dynamique
associative qui rencontre de plus en plus de difficultés à
survivre,
non seulement sur le plan financier mais aussi, et de
manière plus
essentielle, du fait du manque de lieux permettant
la rencontre, réveillant le
désir, suscitant les
initiatives.
Or, contrairement à ce que laissent supposer les
politiques actuelles,
la vie d'une ville ne se mesure pas
seulement à son niveau d'activité
commerciale, mais d'abord au
foisonnement d'activités collectives et à la
multiplicité des
initiatives qu'elle rend possible. Or cela nécessite de créer
les
conditions de possibilité pour qu'une vie sociale et culturelle
puisse
émerger. Multiplier les lieux de consommation culturelle
ne répond pas d'une
telle nécessité, puisque cela tend à
reléguer la majorité de la population
dans une position de
passivité plutôt que de permettre la création de
dynamiques
collectives. Ce qui fait radicalement défaut dans une ville
comme
Tours aujourd'hui, ce sont des lieux de vie qui permettent
de croiser non
seulement les personnes, mais aussi différents
niveaux et formes d'activités
(artistiques, culturelles,
sociales, écologiques, etc.) : des lieux de
rencontre, de
pratique et de transversalité. C'est en multipliant, à l'échelle
de
la ville, différentes formes de lieux de vie, que la ville de Tours
pourra
retrouver la vitalité qu'elle a perdu.
Dans ce
contexte général, le projet des Colettes constitue une
opportunité
: celle de développer un lieu de vie qui bénéficie d'une
histoire
longue de 60 ans d'implantation dans le quartier Paul
Bert, ainsi que d'un
maillage associatif composé d'initiatives
qui trouvent dans le bar un espace
où proposer et développer
leur activité. De plus, par son caractère excentré,
Colettes
contribue à dynamiser le territoire urbain au-delà du seul
centre
ville où se trouvent aujourd'hui à la fois concentrés et
canalisés la majorité
des activités.
2-Un lieu de vie
«
On a besoin de lieux pour habiter le monde »
La singularité
d'un lieu comme le bar Colette réside dans le fait
d'avoir réussi
à articuler et croiser, dans et à travers le temps,
une
multiplicité de couches sociales, de réseaux humains et de
formes de
pratiques.
En tant que bar, il constitue un
espace public ouvert à tous. Chacun,
quel qu'il soit, peut y
entrer librement pour boire un verre. C'est aussi un
lieu de
quartier où se rencontrent les habitants et où les habitués
ont
institués des points de rendez-vous ritualisés. Du café du
matin où se
retrouvent les parents après avoir conduit les
enfants à l'école, aux repas du
midi qui accueillent les
ouvriers du quartier, en passant par les enfants
auxquels les
mercredis sont consacrés, jusqu'aux habitués qui tissent
le
quotidien, le bar forme la base d'un espace social diversifié.
Sa singularité,
il la tire d'abord de son inscription dans le
quartier.
Mais le bar est aussi un lieu qui accueille diverses
activités
sociales et culturelles. De part sa disposition
spatiale - un rez-de-chaussée
et une grande salle à l'étage -,
il permet d'accueillir des activités aussi
variées que
l'organisation de soirées de concert ou de projection, des
soirées
jeux, des expositions, des conférences ou lectures,
ainsi que divers ateliers
(atelier d'écriture, atelier de
couture, atelier modelage...). C'est aussi un
ban d'essai pour de
nombreux groupes de musique amateurs locaux, ainsi qu'un
espace
d'expérimentation pour des compagnies de théâtre ou artistes
divers.
Que se soit par les «apéros-concerts» du dimanche soir
ou les soirées festives
qui y sont régulièrement organisées au
gré des envies et des propositions, ce
lieu est à la fois un
espace de fête, de libre _expression_ et de lâcher-
prise.
C'est
enfin un lieu de réunion important pour tout un réseau d'acteurs
de
la ville de Tours et au-delà (que ce soit des groupes
institutionnalisés ou
des groupes plus informels).
Le bar
constitue donc le point d'entrée d'une activité sociale
et
culturelle multiple qui s'est développée de manière plus ou
moins informelle
au cours du temps. Plus qu'un bar, Colette est un
espace ouvert qui vit en
fonction de ce qui y est proposé par les
usagers.
Or c'est tout cela, ce tissage stratifié de réseaux
et de liens
sociaux, qui pourrait disparaître avec la fermeture
du bar Colette. C'est tout
cela, ce terreau propice à la création
et à l'initiative qui demande tant de
temps pour se constituer,
qu'il s'agit de sauver en lui donnant toute
l'ampleur qu'il
mérite.
3-Le projet collectif
Depuis deux ans, un
processus s'est mis en place qui vise à
transformer le bar en
projet collectif. A travers ce projet, il s'agit de
donner forme à
l'ensemble des activités qui jusqu'alors se développaient
de
manière plus ou moins informelle. Une des étapes importantes
de ce processus
consiste dans une transformation du mode de
gestion du lieu : le passage d'une
entreprise privée gérante du
bar à une gestion associative collective où sont
équitablement
représentés les salariés, les propriétaires du bar et
les
intervenants (associations et individus). Cette gestion
collective du lieu
doit permettre de mettre en valeur les
différentes initiatives qui le
traversent, tout en créant des
ponts entre les activités.
Le projet trouve son sens dans le
désir de créer des transversalités
entre les différentes
formes de pratiques et les différents types de publics.
Le projet
se constituerait à travers la mise en place de différents
foyers
d'activités (bar, librairie, ateliers, etc.), chacun
développant des actions
diverses, tout en entrant en résonance
ou en relation les uns avec les autres.
Il s'agit d'offrir
l'occasion à des modes d'être hétérogènes de se croiser
–
au-delà des réseaux déjà constitués - afin de solliciter
des rencontres et des
collaborations imprévues, de croiser les
mondes et des manières de faire qui
surprennent les uns les
autres.
Ainsi, tout en continuant à tenir l'activité du bar
de journée ainsi
que la restauration du midi, il s'agira
d'optimiser la salle du haut de
manière à permettre le
développement d'autres activités, la possibilité
d'inventer une
vie nocturne distincte du bar (différentes formes de soirées),
mais
aussi de monter des systèmes d'entraide et d'échange de savoir :
zones de
gratuité, librairie, ateliers d'informatique, magasin de
jouets gratuits,
vestiaire de vêtements, dépôt-vente
d'agriculteurs-producteurs, soirées-
débats, etc.
L'enjeu
consiste aussi à valoriser les différents niveaux de réseau
qui
se croisent dans le lieu, tout en inscrivant le bar dans un
réseau
d'initiatives du même genre qui se développent
aujourd'hui en France et au-
delà.
4-La réalisation du
projet : appel aux dons
Afin de réaliser ce projet, il est
nécessaire de racheter
collectivement le fond de commerce du bar
Colette aux actuelles propriétaires,
et ainsi démarrer la
nouvelle dynamique sur des bases saines d'un point de vue
financier.
Or le bar se trouve aujourd'hui au bord de la faillite en raison
de
diverses dettes accumulées. Le montant du rachat du bar ajouté
à celui du
remboursement des dettes équivaut à environ 50 000
euros. Pour procéder au
rachat du bar, le collectif des Colettes
lance donc un appel aux dons auprès
de tous ceux, habitants de
Tours ou d'ailleurs, qui se sentent solidaires
d'une telle
initiative.
Vous pouvez envoyer vos dons (à l'ordre de
l'association les Colettes) à
l'adresse suivante : 57 quai Paul
Bert, 37100 Tours.
Un
registre des dons est tenu : dans le cas où le projet ne
pourrait aboutir, les dons sont restitués.
Des temps forts
seront organisés pour accompagner cet appel à soutien. Notez
bien
les dates :
-une fête le 30 novembre prochain sur la place
Paul Bert et/ou l'île Aucard
-et une grande fête à la Barre
rue du Petit Bois à Mettray les 14 et 15 décembre 2013.
Contacts
:
email : collectivereprise@gmail.com
Le Café-Comptoir Colette est un bar de quartier, qui existe depuis
plus d’un siècle sur le quai Paul Bert à Tours. Il accueille quotidiennement
une diversité de personnes issues du quartier ou de la ville, mais aussi une
multiplicité d'activités à la fois sociales et culturelles.
Depuis deux ans, un collectif s'est constitué avec la volonté de
transformer le bar en projet collectif afin de mettre en correspondance la
forme de gestion du lieu et l'activité foisonnante qui s'y déploie.
Aujourd'hui le Café-Comptoir Colette ressemble plus à un lieu de vie qu'à un
bar conventionnel. C'est un lieu de vie où se croisent et se rencontrent des
habitants de quartier, des projets associatifs divers, des amateurs de libre
expression et des individus qui souhaitent proposer des initiatives.
La reprise du Café-Comptoir Colette par le collectif des Colettes
répond au désir d'accroître la dynamique collective qu'il a rendu possible en
créant les conditions d'une meilleure articulation et développement des
différents réseaux qui le traversent.
Or le bar rencontre aujourd'hui une situation financière critique qui
précipite la nécessité d'une telle reprise et son rachat par le collectif. Cet
appel vise à réunir les forces qui, en apportant un soutien au projet, en
permettront la réalisation.
Le projet
1- Le contexte
L'ambiance générale de la ville de Tours est aujourd'hui à l'image de
la dépression sociale qui traverse le pays. Celle-ci se manifeste par la
multiplication des fermetures de lieux, bars ou espaces collectifs, par un
appauvrissement des lieux de vie nocturne, cloisonnés dans un Vieux Tours lui-
même soumis à une régulation et à un contrôle qui finissent par étouffer les
quelques foyers de vie qui y résistaient, ainsi qu'à un affaiblissement de la
dynamique associative qui rencontre de plus en plus de difficultés à survivre,
non seulement sur le plan financier mais aussi, et de manière plus
essentielle, du fait du manque de lieux permettant la rencontre, réveillant le
désir, suscitant les initiatives.
Or, contrairement à ce que laissent supposer les politiques actuelles,
la vie d'une ville ne se mesure pas seulement à son niveau d'activité
commerciale, mais d'abord au foisonnement d'activités collectives et à la
multiplicité des initiatives qu'elle rend possible. Or cela nécessite de créer
les conditions de possibilité pour qu'une vie sociale et culturelle puisse
émerger. Multiplier les lieux de consommation culturelle ne répond pas d'une
telle nécessité, puisque cela tend à reléguer la majorité de la population
dans une position de passivité plutôt que de permettre la création de
dynamiques collectives. Ce qui fait radicalement défaut dans une ville comme
Tours aujourd'hui, ce sont des lieux de vie qui permettent de croiser non
seulement les personnes, mais aussi différents niveaux et formes d'activités
(artistiques, culturelles, sociales, écologiques, etc.) : des lieux de
rencontre, de pratique et de transversalité. C'est en multipliant, à l'échelle
de la ville, différentes formes de lieux de vie, que la ville de Tours pourra
retrouver la vitalité qu'elle a perdu.
Dans ce contexte général, le projet des Colettes constitue une
opportunité : celle de développer un lieu de vie qui bénéficie d'une histoire
longue de 60 ans d'implantation dans le quartier Paul Bert, ainsi que d'un
maillage associatif composé d'initiatives qui trouvent dans le bar un espace
où proposer et développer leur activité. De plus, par son caractère excentré,
Colettes contribue à dynamiser le territoire urbain au-delà du seul centre
ville où se trouvent aujourd'hui à la fois concentrés et canalisés la majorité
des activités.
2-Un lieu de vie
« On a besoin de lieux pour habiter le monde »
La singularité d'un lieu comme le bar Colette réside dans le fait
d'avoir réussi à articuler et croiser, dans et à travers le temps, une
multiplicité de couches sociales, de réseaux humains et de formes de
pratiques.
En tant que bar, il constitue un espace public ouvert à tous. Chacun,
quel qu'il soit, peut y entrer librement pour boire un verre. C'est aussi un
lieu de quartier où se rencontrent les habitants et où les habitués ont
institués des points de rendez-vous ritualisés. Du café du matin où se
retrouvent les parents après avoir conduit les enfants à l'école, aux repas du
midi qui accueillent les ouvriers du quartier, en passant par les enfants
auxquels les mercredis sont consacrés, jusqu'aux habitués qui tissent le
quotidien, le bar forme la base d'un espace social diversifié. Sa singularité,
il la tire d'abord de son inscription dans le quartier.
Mais le bar est aussi un lieu qui accueille diverses activités
sociales et culturelles. De part sa disposition spatiale - un rez-de-chaussée
et une grande salle à l'étage -, il permet d'accueillir des activités aussi
variées que l'organisation de soirées de concert ou de projection, des soirées
jeux, des expositions, des conférences ou lectures, ainsi que divers ateliers
(atelier d'écriture, atelier de couture, atelier modelage...). C'est aussi un
ban d'essai pour de nombreux groupes de musique amateurs locaux, ainsi qu'un
espace d'expérimentation pour des compagnies de théâtre ou artistes divers.
Que se soit par les «apéros-concerts» du dimanche soir ou les soirées festives
qui y sont régulièrement organisées au gré des envies et des propositions, ce
lieu est à la fois un espace de fête, de libre _expression_ et de lâcher-
prise.
C'est enfin un lieu de réunion important pour tout un réseau d'acteurs
de la ville de Tours et au-delà (que ce soit des groupes institutionnalisés ou
des groupes plus informels).
Le bar constitue donc le point d'entrée d'une activité sociale et
culturelle multiple qui s'est développée de manière plus ou moins informelle
au cours du temps. Plus qu'un bar, Colette est un espace ouvert qui vit en
fonction de ce qui y est proposé par les usagers.
Or c'est tout cela, ce tissage stratifié de réseaux et de liens
sociaux, qui pourrait disparaître avec la fermeture du bar Colette. C'est tout
cela, ce terreau propice à la création et à l'initiative qui demande tant de
temps pour se constituer, qu'il s'agit de sauver en lui donnant toute
l'ampleur qu'il mérite.
3-Le projet collectif
Depuis deux ans, un processus s'est mis en place qui vise à
transformer le bar en projet collectif. A travers ce projet, il s'agit de
donner forme à l'ensemble des activités qui jusqu'alors se développaient de
manière plus ou moins informelle. Une des étapes importantes de ce processus
consiste dans une transformation du mode de gestion du lieu : le passage d'une
entreprise privée gérante du bar à une gestion associative collective où sont
équitablement représentés les salariés, les propriétaires du bar et les
intervenants (associations et individus). Cette gestion collective du lieu
doit permettre de mettre en valeur les différentes initiatives qui le
traversent, tout en créant des ponts entre les activités.
Le projet trouve son sens dans le désir de créer des transversalités
entre les différentes formes de pratiques et les différents types de publics.
Le projet se constituerait à travers la mise en place de différents foyers
d'activités (bar, librairie, ateliers, etc.), chacun développant des actions
diverses, tout en entrant en résonance ou en relation les uns avec les autres.
Il s'agit d'offrir l'occasion à des modes d'être hétérogènes de se croiser –
au-delà des réseaux déjà constitués - afin de solliciter des rencontres et des
collaborations imprévues, de croiser les mondes et des manières de faire qui
surprennent les uns les autres.
Ainsi, tout en continuant à tenir l'activité du bar de journée ainsi
que la restauration du midi, il s'agira d'optimiser la salle du haut de
manière à permettre le développement d'autres activités, la possibilité
d'inventer une vie nocturne distincte du bar (différentes formes de soirées),
mais aussi de monter des systèmes d'entraide et d'échange de savoir : zones de
gratuité, librairie, ateliers d'informatique, magasin de jouets gratuits,
vestiaire de vêtements, dépôt-vente d'agriculteurs-producteurs, soirées-
débats, etc.
L'enjeu consiste aussi à valoriser les différents niveaux de réseau
qui se croisent dans le lieu, tout en inscrivant le bar dans un réseau
d'initiatives du même genre qui se développent aujourd'hui en France et au-
delà.
4-La réalisation du projet : appel aux dons
Afin de réaliser ce projet, il est nécessaire de racheter
collectivement le fond de commerce du bar Colette aux actuelles propriétaires,
et ainsi démarrer la nouvelle dynamique sur des bases saines d'un point de vue
financier. Or le bar se trouve aujourd'hui au bord de la faillite en raison de
diverses dettes accumulées. Le montant du rachat du bar ajouté à celui du
remboursement des dettes équivaut à environ 50 000 euros. Pour procéder au
rachat du bar, le collectif des Colettes lance donc un appel aux dons auprès
de tous ceux, habitants de Tours ou d'ailleurs, qui se sentent solidaires
d'une telle initiative.
Vous pouvez envoyer vos dons (à l'ordre de l'association les Colettes) à
l'adresse suivante : 57 quai Paul Bert, 37100 Tours.
Un
registre des dons est tenu : dans le cas où le projet ne
pourrait aboutir, les dons sont restitués.
Des temps forts seront organisés pour accompagner cet appel à soutien. Notez
bien les dates :
-une fête le 30 novembre prochain sur la place Paul Bert et/ou l'île Aucard
-et une grande fête à la Barre rue du Petit Bois à Mettray les 14 et 15 décembre 2013.
Contacts :
email : collectivereprise@gmail.com
Des temps forts seront organisés pour accompagner cet appel à soutien. Notez
bien les dates :
-une fête le 30 novembre prochain sur la place Paul Bert et/ou l'île Aucard
-et une grande fête à la Barre rue du Petit Bois à Mettray les 14 et 15 décembre 2013.
Contacts :
email : collectivereprise@gmail.com
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